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Mitchell Roland - Le bonheur ne serait pas le bonheur sans une chèvre qui joue du violon.

Mirar
Mirar
🍂 génie de la bidouille
https://test-uts-etsu.forumactif.comhttps://test-uts-etsu.forumactif.com
Patronyme :
Dévi

Pronoms :
elle/lui/iel

Grade :
Chef.fe de la milice

Résidence :
WHITE HOUSES

Occupation :
Ca code et ça testeuuuuuh

$ CA :
7860

Un autre truc à dire :

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en cours
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Mitchell Roland - Le bonheur ne serait pas le bonheur sans une chèvre qui joue du violon. VHTfQSz
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Mitchell Roland - Le bonheur ne serait pas le bonheur sans une chèvre qui joue du violon. Empty # Jeu 18 Mai - 21:40
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Mitchell Roland - Le bonheur ne serait pas le bonheur sans une chèvre qui joue du violon. 51my



Roland Mitchell
OC Ian (c) Notmusa

- Est-ce que je rêve ? - Non... - J'm'en doutais. Si j'rêvais y'aurait du rhum !




Picoleur
Nerveux
Fumeur
Célibataire
Un peu raté
Surtout perdu

Nom :Mitchell
Prénom :Roland
Surnom / Alias :Le pigeon
Origine :Thunder Bay
Race :Humain
Âge :35 ans
Occupation :SDF et chômeur, squatte les salles de cinéma
Groupe :Residents



Caractère


Allez cette fois, c'est la bonne ! J'enfile ma meilleure cravate et me passe du gel dans les cheveux. Je vais me pointer à c't'entretien et le remporter le nez dans les yeux. Pardon. Les doigts dans les yeux. Euh, le nez.
Je n'angoisse pas. C'est pas vrai. J'ai toutes les chances d'y arriver. Je vais me chopper du taff, gagner des sous et... Et peut-être qu'elle revoudra de moi et lâchera ce crétin de Lucien qui bave comme un chien. Jamais pu saquer ce fils de notaire. Et avec un job stable, je pourrai enfin être un père digne de ce nom pour ma petite Alex ! On y croit !

Je me présente au rendez-vous, j'attends dans la... salle d'attente. Je me suis lavé chez un ami et j'ai fait gaffe à rester sobre toute la soirée d'avant pour pouvoir me lever. Il est 8h30 et je suis au taffet. Taquet. Damn, c'est moi où il fait drôlement chaud ici ? Tous ces gens-là, c'est pour l'entretien aussi ? Allez mon coco, tu respires un coup, ça va bien se passer.

On appelle les gens un à un. Les minutes passent. Puis les heures.
Il est bientôt onze heures quand vient mon tour. Je suis le dernier. Purée que j'aurais besoin d'une clope. Ou deux. Plutôt trois en vrai. Je déglutis et me tape discrètement les joues pour me motiver. Tout est bon. On t'a toujours dit que t'avais un caractère sympathique. Ça devrait jouer en ta faveur pas vrai ?

- Monsieur Roland Mitchell, c'est cela ?
- H-hm, oui.

Y'a deux types en costards assis derrière un bureau, une femme et un homme. Le décor est strict et élégant au possible, une plante verte dans le fond, le cliché d'une boîte respectable. Je fais un sourire amical qui m'encourage et m'assis quand on me le signifie. Leurs deux sourires sont froids et polis.

- Parlez-nous de votre parcours.
- Oh ! J'ai un parcours un peu atypique vous savez, mais c'est ce qui fait ma force. J'ai commencé en tant que caissier à l'épicerie du coin, puis vendeur dans un magasin d'électronique. J'ai toujours aimé toucher aux nouvelles technologies, d'ailleurs j'ai même appris à réparer dans mon métier. Puis j'ai travaillé au vieux cinéma à Northwood en tant qu'assistant-projectionniste avant de devenir projectionniste moi-même.
- ...

Les deux me regardent un instant pour voir si j'allais continuer ou pas. Il y a un malaise dans leur regard mais euh... je me décompose pas.

- Monsieur Mitchell, vous savez qu'il s'agit d'un poste d'expert SEO ?... Nous n'avons pas besoin d'un technicien à l'heure actuelle.
- A-ah, mais euh, après que mon cinéma ait fermé, j'ai fait un stage chez Google. J'ai appris tout ce qu'il y a à savoir sur le référencement de sites. J'ai déjà fait des commissions et je me mets régulièrement à jour. Je suis quelqu'un de très flexible et j'apprends vite. J'y vais au bullshit, de toute façon j'ai rien à perdre.

Y'a un œil incrédule chez l'un et un œil fermé de l'autre.

La vérité, c'est que j'y connais rien aux nouvelles technologies, ça va trop vite pour moi. Même le métier de projectionniste a changé, quand j'ai voulu postuler au cinéma SilverCity après que mon vieux cinéma traditionnel ait rendu l'âme, je me suis pris ça en pleines dents. Puis après... le marché du travail est... vraiment dur. Surtout quand on se fait larguer en même temps et jeter à la rue.

- Pour qui avez-vous fait des commissions ? Avez-vous un site qui explique votre démarche professionnelle ?
- Alors euhm, mon site a récemment crashé... Mais j'ai en fait pleins pour de grosses boîtes... Loréal, H&M, la Banque Royale...

Je suis en totale impro et totale panique intérieure. Je vois bien qu'elle essaye de voir si je peux correspondre malgré tout ou pas. Je saisis ma chance.

- Mais jamais pour des startups comme la nôtre ?
- Oh euh...

Je bug.

- ... Ouais ? Je tente un sourire convaincant.

Le type n'est pas du tout convaincu et ne le cache pas.

- Qu'est-ce qui vous intéresse dans notre startup ?

L'argent. Puis j'ai pensé que ce serait plus accessible pour moi que... des grosses boîtes justement. Mais je vais pas le dire hein.

- Oh... Euh... J'en ai eu un peu marre des grosses boîtes, et j'aime l'idée d'aider à faire décoller des futures grosses boîtes comme la vôtre.

J'ai complètement oublié ce que fait cette entreprise dans la panique.

- ... Silence un peu trop observateur chez les deux.
- ... Heh. Je le brise avec mon meilleur sourire amical, mais j'y crois plus trop.

J'ai encore tout foiré pas vrai ?
L'entretien se termine peu de temps après.

- Nous vous recontacterons sous peu Monsieur Mitchell. , me sourit-on.
- Je vous remercie pour le temps que vous m'avez consacré. J'espère vraiment pouvoir travailler à vos côtés. J'essaye jusqu'au bout malgré tout.

En sortant, c'est la flotte qui m'attend. Pas la petite nan. La grosse, qui s'écrase sur ta gueule comme des petits morceaux de plomb. Je regarde un instant le ciel. Il m'ignore. Je prends même pas la peine de mettre ma veste sur ma tête pour éviter qu'elle se mouille, c'est déjà trop tard. Le gel dans mes mèches fait pas long feu, je le sens qui s'humidifie et qui se colle à la base de mes cheveux.
Je m'abrite sous la devanture d'un magasin de jouets. Je sors ma sauveuse, une gauloise, et je l'allume. Les parents me regardent mal en entrant dans le magasin avec leurs mioches.

Je regarde la pluie.

... Ça fait déjà quoi... Un an qu'on est séparés ?

Une goutte d'eau passe à travers un trou du tissu pour s'écraser sur ma cigarette. Ça l'éteint au bout.
Merde. C'est vraiment pas mon jour. Pas mon jour depuis 365 jours.
Je regarde ma cigarette puis la laisse tomber par terre avant de l'écraser avec mon talon par habitude.

J'essaie de résister hein. Mais inlassablement, mes pas m'emmènent vers un bar. Il y fait chaud, il y fait bon. Je peux y charger mon téléphone en tuant le temps sur Candy Crush. Quelques bières. Les discussions alentours pour achever d'endormir mon cerveau.
Qu'est-ce que je donnerais pas pour retourner dans le temps et... et tout faire pour que tout se passe bien. Le problème c'est que je sais même pas où je me suis foiré. Je me claque les joues. Allez, qu'est-ce que je me dis dans ces cas-là ? "Ris et tout le monde rira avec toi, pleure et tu seras le seul à pleurer." Merci Old Boy.
J'enfile mon unique bière puis décide de me diriger vers le cinéma. Je vais me taper des barres devant une bonne comédie et tout ira mieux ! Encore mieux avec un pot de glace. J'ai besoin de peu pour mon bonheur ! Puis j'ai encore quatre jours avant de voir Alex, donc quatre jours pour tenter de chopper un boulot pour lui annoncer fièrement que ça y est, j'en ai un ! Et après ça, j'économiserai pour pouvoir me louer un petit bouiboui, et tout ira mieux !







Histoire


Si tu veux un conseil, oublie que t'as aucune chance. On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher !


Mon histoire commence à Current River, dans un logement miteux mitoyen à la gare. Un père alcoolique mais pas méchant, cammionneur donc rarement présent. Une mère absente et une belle-mère atroce. Dit comme ça, on dirait le début d'une mauvaise blague. Ou d'un vilain conte.

On roulait pas sur l'or. Ma belle-mère était une véritable harpie, pire qu'un cliché ! Elle a toujours considéré que j'étais de trop dans le logement. C'était con qu'elle ne puisse pas me refiler à ma génitrice. Ni décemment me mettre à la rue. Mon père ne l'aurait pas permis ! Père que j'ai pas trop connu d'ailleurs. Je sais juste qu'il n'a pas eu une vie facile. Je l'ai surtout connu à travers l'argent de poche qu'il me donnait à chaque fois qu'il revenait, comme pour se faire pardonner de jamais être dans le coin.

Je me sentais pas bien à la maison, alors j'ai tôt fait de découvrir ce qui serait mon meilleur ami et mon refuge pour la vie. Le cinéma ! Je passais quasiment tout mon temps libre et mon argent de poche assis là, dans la pénombre, à m'avaler des dizaines de films chaque semaine. C'était mieux que de racketter mes camarades ou plutôt de me faire racketter en pleine rue. Ce qui m'arrivait immanquablement quand j'étais pas assez vif pour éviter les vilains coins. Mais à force j'étais devenu le pro de l'esquive !

J'ai toujours été un grand rêveur et les films que j'ingérais n'arrangèrent pas le trait. Après tout, tout est plus facile à vivre avec une bonne musique des années 30 et un bon swing dans la tête.

J'ai grandi de façon plutôt décente tout compte fait. Jamais touché à la beuh ni aux drogues, j'ai jamais songé à mal tourner. Par contre la cigarette. Ahlala mais la cigarette. Notre relation a commencé quand j'avais quinze ans. L'alcool, ce fut à dix-sept ans lors des soirées. À croire que je me calquais sur mon vieux. C'est d'ailleurs à cet âge-là que mon père a dégagé ma belle-mère de l'appart'. J'étais rentré complètement torché et... bien, en m'insultant, elle insulta ma mère, ce que mon père ne toléra pas et... bien bon vent, sale sale.

Le lycée fini et le diplôme en poche, sitôt je travaillai en temps que caissier à l'épicerie du coin. Le gérant me connaît depuis que je suis gosse et est un pote d'enfance de mon père. Ce fut un arrangement qui me permit d'avoir mon premier taff et de gagner mes premières paies. Je faisais du bon taff ! Mais qu'est-ce que je m'emmerdais... J'aurais pu pousser mes études jusqu'à la Maîtrise, mais je réservais mon argent pour le cinéma et pour avoir mon propre logement. Puis bon, quitte à rester le cul vissé sur une chaise toute la journée, autant être payé pour.

Je changeai de taff pour un magasin d'électronique.... Car celui-ci était carrément plus près du cinéma. C'est là que j'appris pleins de bricoles et deux. C'est aussi là que j'ai rencontré Jody. Notre histoire a commencé comme dans les films les plus romantiques, dans ce lieu si peu romantique qu'était le magasin. Elle cherchait un modèle très spécifique d'ordinateur. Je l'ai conseillée pendant des heures. Puis après, on est allés boire un verre. Bon ok, peut-être que j'enjolive un peu les faits. Le verre eut lieu la deuxième fois qu'elle est venue au magasin, pour réparer l'écran de son ordinateur que son chat avait fait tomber.

Qu'est-ce qu'elle était belle bon sang. Elle l'est toujours d'ailleurs, mais elle en a plus rien à foutre d'un plouc comme moi.

Notre histoire qui aurait dû durer trois soirs dura neuf ans. La plus merveilleuse des petites filles naquit durant cette période, ma petite Alex, mon trésor ! C'est la meilleure des gamines existant. Bientôt huit ans et plus toutes ses dents.

Il y a un an survint le drama, comme dans tout bon film mélancolique à l'eau de rose.
Voilà que Jody rentre un soir en annonçant que c'est plus possible entre elle et moi. J'ai jamais exactement compris ses raisons, mais ce que je sais c'est qu'elle s'est mise avec ce gros con de Lucien par la suite. J'imagine que c'était lui sa raison ou que je lui convenais plus. Le problème, c'est que ça tombait au même moment que la fermeture du cinéma auquel je travaillais en tant que projectionniste... Je me suis retrouvé à la rue et tout seul. Ah bien sûr, c'est Jody qui a récupéré la garde d'Alex. J'aurais pu demander de l'aide à mon père, mais quelle humiliation pour moi de me faire héberger par lui à mon âge ! On a gardé des liens cordiaux mais j'avoue que je me sens pas plus proche que ça de lui. Donc je me suis démerdé, demandant à des amis de me dépanner.

Mais y'a un moment où les gens en ont marre de te voir te ramener avec ta couette et ta sale gueule. Alors je me suis tourné vers mon ultime refuge : le cinéma. Je connais bien son fonctionnement. Éviter le personnel d'entretien pour me loger dans la salle du projectionniste, ou alors siester entre deux séances, c'est devenu mon quotidien avec ma recherche infructueuse d'emploi. Le chômage que je perçois ne suffit pas à ce que je trouve un logement qui soit pas infesté de rats pour prendre soin de ma petite Alex. S'il n'y avait pas elle, je me serais contenté de n'importe quoi. S'il n'y avait pas elle, je serais certainement en train de déprimer comme un triste bougre. Alors je me bouge ! Ok si Jody veut plus de moi dans sa vie, mais je compte être un bon père pour Alex ! Puis je vais citer un film culte pour la blague : "Il ne peut plus rien nous arriver d'affreux maintenant !".

...

Ce que ne sait pas encore Roland, c'est que ses paquets de clopes quotidiens ont amené un cancer à se développer dans ses poumons. Il ne lui reste peut-être pas autant de temps que ce qu'il aurait cru...


Derrière l'écran


J'aime qu'on me brûle et qu'on fasse semblant de me bully. Je suis bon public et m'extasie à coups de OH BOI francs et sonores. J'aime la commu du coin du fond du kokoro et couvrir le monde de paillettes.
Ouiiii c'encore Luluuuuuu vous m'avez démasquë ~ et j'arrive avec un DADDY cette fois :uhu:


Mirar
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